Filmo presse... extraits
Les sirènes de minuit
Pavés luisants, nuits embrumées par l'alcool, "bars à putes" sur le port, le décor du film noir est en place. Sombre histoire où éclate tout le talent de Philippe Léotard écorché et pathétique. Télé Star
Ce qui nous tient ici en haleine n'est pas tant le résultat de l'enquête - on sait tout de suite qui est le meurtrier - que les relations qui se tissent entre des personnages riches et nuancés. Vrai policier dans la tradition des années 50. Drame désespéré. Seconds rôles fouillés. Telerama
Un excellent polar digne des salles obscures qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. A ne pas manquer. Télé Journal
Intrigue astucieuse, intéressante de bout en bout. Dialogues justes, ambiance bien rendue. Télé 7 Jours
Un très bon polar dans lequel Philippe Léotard fait une création bouleversante. Le Parisien
Un scénario solide, magnifiquement servi par d'excellents comédiens, tout particulièrement Philippe Léotard et Stéphane Jobert. Un téléfilm à ne pas manquer. Télé Loisirs
Un très beau film noir avec des personnages émouvants.
L'adaptation faite par Claude Barma et Michèle Letellier, a, certes, gommé la dimension politique. Mais, la dimension humaine du livre qui montrait la réhabilitation par l'amour d'un ancien flic déchu, a été plus que préservée. A mes yeux, elle a été améliorée. Jean-François Coatmeur, auteur du roman dont est tiré le scénario.
Aventure crépusculaire, sirènes lançant leur lugubre plainte sur le port, on a envie de s'arrêter et d'accompagner ce paumé de Jef qui fait son dernier tour de piste, et de crier, rire ou pleurer avec lui sur ce monde qui ne comprend jamais rien. Allumer les feux de Bengale dans le ruisseau pour éclairer un mauvais rêve qui ressemble à la vie quand elle se refuse à rimer bêtement avec bonheur. Dominque Borde, Le Figaro
Histoire d'amour désespérée, portée à bout de coeur et d'émotion par Philippe Léotard, innocent paumé et grand gosse amoureux et Véronique Genest, la coupable inconnue finissant par en étouffer. Il est rare qu'un polar émeuve à ce point. Colette Boillon, La Croix