Chauvinisme. Avouons qu'il est agréable de retrouver de tels feuilletons bien de chez nous. De l'esprit, de l'invention, du caractère. Des dialogues toujours justes. Un signe qui ne trompe pas: même les personnages secondaires sont des interprètes de premier plan. France-Soir

De très bons acteurs, dont une Annie Cordy tendre et pathétique pour un scénario bien ficelé et riche en rebondissements dramatiques. Télé Loisirs

Un savant mélange de haines, de jalousie, de tendresse, de drames et d'humour destiné à tenir en haleine des millions de téléspectateurs pendant neuf semaines. Une histoire solide et une distribution exceptionnelle. Télé journal

Amours malheureuses, vengeances et coups de théâtre. La saison s"annonce tempêtueuse. Télé 7 jours

Nomination aux 7 d'Or, comme meilleur feuilleton.

En trois heures, la qualité des acteurs, la justesse des dialogues, la délicatesse de la réalisation permettent de ressentir la moiteur des étés et la renaissance du soleil sur les foins dorés, d'entendre le silence des longs hivers en montagne. La gouaille d'Annie Girardot et l'énergie d'Anne Coesens se répondent avec aisance. Un vrai bonheur. Cécile Challier, Télérama

Ce téléfilm se déguste avec délectation, même si les herbes sauvages ont un léger goût d'amertume. Il rend bien compte de la vie de cette Passionaria, qui a réellement existé. Télé Loisirs

Le XXe siècle vu d'une vallée alpine par une institutrice rebelle de 77 ans. Excellente interprétation de Rufus, en paysan et père d'Emilie, rustre et possessif. Quant à Annie Girardot (Emilie âgée), on dira juste qu'elle est parfaite en vieille dame militante. Marie-Laure Mas, Nouvel Observateur